La Croisee Des La Tour Des Anges Fr
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Le jeune Will, à la recherche de son père disparu depuis de longues années, est persuadé d'avoir tué un homme. Dans sa fuite, il franchit une brèche presque invisible qui lui permet de passer dans un monde parallèle. Là, à Cittàgazze, la ville au-delà de l'Aurore, il rencontre Lyra, l'héroïne des Royaumes du Nord. Elle aussi cherche à rejoindre son père, elle aussi est investie d'une mission dont elle ne connait pas encore toute l'importance. Ensemble, les deux enfants devront lutter contre les forces obscures du mal et, pour accomplir leur quête, pénétrer dans la mystérieuse tour des Anges ...
«Ils atteignirent une tour qui se dressait sur une petite place, solitaire. C'était apparemment le plus vieil édifice de la ville : une simple tour crénelée, haute de trois étages. Son immobilité en plein soleil avait quelque chose de si mystérieux que Will et Lyra se sentirent attirés par cette porte entrouverte au sommet d'un large escalier.» Le jeune Will Parry, à la recherche de son père disparu depuis de longues années, est poursuivi par des hommes dont il sait peu de choses. Il traverse une brèche presque invisible, et pénètre dans une étrange cité, Cittàgazze, où des spectres mangeurs d'âmes rôdent dans les rues. Il y rencontre Lyra Parle-d 'Or, qui a franchi le pont entre les mondes édifié par Lord Asriel. Elle aussi cherche à rejoindre son père. Ensemble, ils vont entamer un périlleux voyage à travers les dimensions, et découvrir un secret mortel : un objet d'une puissance extraordinaire et dévastatrice. Ils devront lutter contre les forces obscures du mal et, pour accomplir leur quête, pénétrer dans une mystérieuse tour, la Torre degli Angeli...
Le jeune Will, à la recherche de son père disparu depuis des années, croit avoir tué un homme. Dans sa fuite, il franchit la brèche qui lui permet de passer dans un monde parallèle. Là, à Cittàgazze, la ville au-delà de l'Aurore, il rencontre Lyra. Les deux enfants devront lutter contre les forces obscures du mal et, pour accomplir leur quête, pénétrer dans la mystérieuse tour des Anges.
L'histoire de l'art naïf, minuscule branche de l'histoire de l'art pour l'art, ne retient pour son panégyrique perpétuel des grands hommes, à ses origines, que le fameux douanier Henri Rousseau. Au Poignard Subtil, je fais depuis un certain temps ma propre histoire de l'art qui n'a rien à voir avec celle de l'art pour l'art. Et je ne cesse de rencontrer des créateurs ayant pratiqué la peinture, l'architecture, la sculpture, la musique, etc., en soi, intimement, au coeur de la vie quotidienne. C'est ainsi que j'en viens de fil en aiguille à confectionner une histoire de l'art parallèle, celle de l'art immédiat, (celle de l'art de tous pour tous)...Joseph Laporte, Adieu Pays, adieu parents, j'espère ne pas vous revoir de longtemps; je pars sans effets, sans regrets et sans argent, n'ayant pas encore atteint mes treize ans..., dessin extrait de Mon Voyage en Egypte et en Syrie, autoportrait de l'auteur qui ouvre son récit. Au menu, ces derniers jours, une nouvelle révélation, venue d'il y a deux cents ans, rien que ça... Un soldat, un jeune tambour, parti à treize ans de Grenoble (où il naquit en 1780), pour rejoindre les rangs de l'armée de Bonaparte, et qui en fit partie neuf années durant (de 1793 à 1802) , pendant lesquelles il participa comme musicien aux campagnes d'Italie, puis comme sous-officier aux campagnes d'Egypte et de Syrie, gardant de cette dernière aventure un récit manuscrit, enrichi d'une trentaine de dessins naïfs magnifiques qui, déjà du seul point de vue de l'histoire, constituent en soi un fait rare (comme Jean Tulard le souligne, ce jeune soldat anticipait sur la photographie).Joseph Laporte, Bonaparte, monté sur son dromadaire, (...) arrivant aux portes de Gaza... Son nom, à ce qu'a reconstitué un expert en autographes, M.Jacques Arnna, est Joseph Laporte (il fut cymbalier plus que "tambour" à dire vrai, mais c'est joli, "tambour", et puis ça permet des calembours faciles: Laporte à tambour...). Le manuscrit, qui appartint à la collection de Dina Vierny (autre experte, cette fois en art naïf, entre autres, cf. ses Bauchant, Peyronnet, Vivin et autres Bombois conservés au musée Maillol à Paris), a été vendue en 1996 à Paris et a fini par atterrir dans la prestigieuse collection de livres de la fondation Martin Bodmer, présidée aujourd'hui par M.Jean Bonna, à Genève. Le titre de ce manuscrit illustré? Mon Voyage en Egypte et en Syrie. Il vient de paraître en fac-similé, édité conjointement par les Presses Universitaires de France et la Fondation Martin Bodmer (en novembre 2007).Joseph Laporte, Cimetière Des Egiptiens Riches Et Pauvres [sic] A cet égard, il peut être utile de comparer ses dessins à celui de ce "sergent Louis Mathieu" qui vint après Laporte, vraisemblablement soldat pendant la guerre de conquête de l'Algérie, et qui peignit et dessina une mosquée qui le fascinait, peut-être la mosquée Sidi-Abdherramane à Alger, vers 1850, attestant de la fascination de l'homme du commun occidental pour la nouveauté des lieux découverts, fascination que l'on retrouve aussi bien chez un facteur Cheval rêvant sans bouger de chez lui sur les illustrations exotiques du Magasin Pittoresque, ou chez un abbé Fouré à Rothéneuf brodant ses sculptures de granit à partir de l'imagerie coloniale (la guerre des Boers)."Mathieu Louis, sergent"... Dessin naïf représentant vraisemblablement la mosquée Sidi-Abderrahmane à Alger (voir ci-dessous), coll.privée, Paris, ph.Bruno Montpied *Joseph Laporte, autoportrait de l'auteur qui clôt le récit, en uniforme de l'armée de Bonaparte, se représentant lors de son retour à Grenoble en 1803 (à noter la disposition en méandres de la route se voulant à l'arrière-plan, et qui annonce les dispositions des routes de transhumance présentes dans la peinture naïve suisse des Poyas...)
"Au septième jour, une nuée de corbeaux jaillit des tours de Peyredragon pour propager la parole de lord Aegon aux Sept Couronnes de Westeros. Ils volaient vers les sept rois, vers la Citadelle de Villevieille, vers les seigneurs tant petits que grands. Tous apportaient le même message : à compter de ce jour, il n'y aurait plus à Westeros qu'un roi unique. Ceux qui ploieraient le genou devant Aegon de la maison Targaryen conserveraient terres et titres. Ceux qui prendraient les armes contre lui seraient jetés à bas, humiliés et anéantis."
Entouré de sa famille, Tom Blaireau coule des jours et des années paisibles en son manoir de Flétribois. Mais derrière cette façade respectable se cache un passé trouble et violent, car Tom n'est autre que FitzChevalerie, bâtard de la lignée des Loinvoyant et jadis assassin royal. Un soir d'hiver, un messager se présente à lui avant de disparaître dans des circonstances sanglantes. Quel était le message ? Qui en était l'expéditeur ? Autant de questions sans réponses, autant de vestiges de son passé brutal qui menacent la paix chèrement gagnée.
Loys, par la grace de Dieu roy de France. Savoir faisons à tous, presens et avenir, nous avoir receue l'umble supplicacion de nostre très cher et amé cousin Loys d'Amboise, viconte de Thouars1 prince de Thalemond et [p. 377] seigneur d'Olonne, contenant que puis naguières il a esleu sa sepulture en l'eglise de l'abbaye et monastaire de Thalemond, en la chapelle de Nostre Dame estant hors le cueur en la croisée de ladicte eglise, et pour le salut et remède de son ame a fondé, pour luy, ses hoirs et successeurs et qui de lui auront cause, en ladicte eglise et abbaye de Thalemond2, et en ladicte chappelle où il a ainsi esleu sadicte sepulture, en l'onneur et reverance de la benoiste Trinité et de toute la court celestial de Paradis, et en especial de la glorieuse Vierge Marie, le divin service qui se fait, c'est assavoir par chacun jour de l'an perpetuellement, vigilles de mors à note de neuf seaumes, èsquelz sera dit « In te, Domine, speravi » et neuf lecçons, à la coustume et ordinaire dudit jour de l'an oudit moustier et abbaye, avecques les laudes, et le derrenier respond sera « Libera mey Domine, de morte eterna », avecques les versilles « Dies illa » « Tremens factus sum » et « Creator omnium » ; et après lesdictes vigilles une messe à note et à la fin d'icelle « Ne recorderis » et l'oroison des mors, sur la fosse où nostredit cousin suppliant sera ensepulturé ; laquelle messe sera dicte au dimanche, de la Trinité, au lundi, des anges, au mardi, de saint Jehan l'Euvangelistre, au mercredi, des mors, au jeudi, du saint Esperit, au vendredi, de la Croix, et au samedi, de Nostre Dame ; et aussi vespres de mors à note, et quatre anniversaires à quatre [p. 378] jours par chacun an, c'est assavoir l'un le mardi après Pasques, l'autre le second mardi après la Pentecoste, le tiers le landemain saint Michiel et le quart aujour saint Jehan l'Euvangelistre. Et seront tenuz les religieux de ladicte abbaye de dire, aux jours desdiz anniversaires, la messe à note, à diacre et soubzdiacre, avecques lesdictes vigilles, vespres, messe de mors, et, pendant le temps qu'ilz diront lesdiz anniversaires, tiendront six sierges ardans, c'est assavoir deux sur l'autier et quatre sur ladicte sepulture de nostre dit cousin suppliant, et les autres jours deux sierges seulement sur ledit autier ; et commanceront lesdictes vigilles entre six, sept ouhuict heures, et se continuera ledit service sans aucune intervalle jusques à la fin d'icellui. Et seront sonnées perpetuellement lesdictes vigilles, avant que les commancer, à ung clas de toutes les cloches de ladicte eglise, et durant les laudes d'icelles vigilles, ladicte messe sera sonnée de l'une des plus grosses cloches d'icelle eglise par troys foiz et intervalles ; et pareillement lesdictes vespres seront dictes comme dit est et se commanceront lesdictes vigilles avant les vespres ordinaires de ladicte abbaye. Lequel service lesdiz religieux, abbé et convent de ladicte abbaye de Thalemond ont promis et se sont obligiez, tant pour eulx que pour leurs successeurs, de dire et celebrer perpetuelment, par la manière et ainsi qu'il est cy dessus declairé. Et pour et en rescompense de ce et afin que ledit service soit continué et entretenu à perpetuité, nostredit cousin suppliant a donné, cedé, transporté et delaissé pour luy, sesdiz hoirs et successeurs et qui de lui auront cause, ausdiz religieux, abbé et convent et à leursdiz successeurs, la somme de cent livres tournois de rente, qui leur a assise et assignée sur les choses et en la manière qui s'ensuit : c'est assavoir le droit que nostredit cousin suppliant a ès complans et foulaiges des petiz fiefz assis près le chasteau d'Olonne, aveques les gardes et recepz d'iceulx, pour cinquante solz [p. 379] de rente ; item, demy marc d'argent en masse deu par ledit abbé de Thalemond à la recepte dudit lieu, à chascune feste de Toussains, pour raison des choses qu'il a ou bourg de la Chaume d'Olonne et environ, pour quatre livres tournoys de rente, sur lesquelles choses de la Chaume icellui nostredit cousin suppliant a donné ausdiz religieux, abbé et convent juridicion et droit d'assise, pour leur sensif demander seulement sur leurs hommes qui leur y doivent cens nobles ; item, trois mines de froment de rente deues par lesdiz religieux, abbé et convent à ladicte recepte de Thalemont, à chascune feste de my aoust, pour raison des jaloignes3 de Saint Vincent de Jart, pour soixante solz tournois ele rente ; item, trois moutons ou girez4 coulleiz et thoisonnages deuz à ladicte seigneurie de Thalemond, à chascune feste d'Ascension Nostre Seigneur, sur la reille (sic) pour cinquante solz de rente ; item, le droit que nostredit cousin suppliant a et prent ou fief Cantain assis en la guarenne de Thalemont, tant en terraige de blez que complans de vins, pour cent solz ; item, vint solz tournois de rente que doit et a acoustumé paier à ladicte recepte d'Olonne...5, appellé le pré de la Barbotinière et pour quarante solz de rente ; item, quatre solz de tailles deuz à ladicte recepte de Thalemond sur certains massicaulx6 assis ou villaige de la Broullère. Et la recepte7 desdictes cent livres de rente, montant quatre vings livres tournois ou environ nostredit cousin suppliant l'a assise et assignée ausdiz religieux, abbé et convent sur ses receptes dudit lieu de Thalemond et de et sur chacune d'icelles par telle condicion que, quelque paiement qu'il en ait esté faict ausdiz religieux, sur l'une desdictes receptes, et ilz sont [p. 380] aucunement empeschez, ilz se pourront faire paier sur l'autre recepte par les quatre quarterons de l'an, qui sera par chacun quartier vint livres tournois. Et affin que la fondacion ait lieu et que icelluy nostre cousin ne soit fraudé de son entencion, il nous a humblement supplié et requis qu'il nous plaise avoir agreables lesdiz don, cession et transport desdietes cent livres de rente. Et d'abondant voulons que iceulx religieux, abbé et convent et leursdiz successeurs aient et preignent lesdictes cent livres tournois de rente et les tiengnent et possident comme admorties et à Dieu dediées,et icelles avons admorties et admortissons de grace especial, plaine puissance et auctorité royal, par cesdictes presentes, sans ce qu'ilz puissent estre contrains, ores ne pour le temps avenir à les mettre hors de leurs mains ne à en paier aucune finance, laquelle, à la requeste et en faveur d'icelluy nostre cousin suppliant, nous leurs avons donnée et quictée, donnons et quictons par ces mesmes presentes. Si donnons en mandement à noz amez et feaulx gens de noz comptes et tresoriers, au seneschal de Poictou et à tous noz autres justiciers ou à leurs lieuxtenans, presens et avenir, et à chascun d'eulx, si comme à luy appartendra, que de nostre presente ratifficacion, admortissement et don facent, seuffrent et laissent lesdiz religieux, abbé et convent de ladicte abbaye de Thalemond et leursdiz successeurs joir et user à tousjours perpetuellement, plainement et paisiblement, sans leur faire ne donner, ne souffrir estre fait, mis ou donné aucun destourbier ou empeschement au contraire ; et par rapportant ces presentes, signées de nostre main, ou vidimus d'icelles fait soubz seel royal, pour une foiz seulement, et recongnoissant desdiz religieux, abbé et convent sur ce souffisant, nous voulons le changeur de nostre tresor estre tenu quicte et deschargé de ladicte finance en ses comptes, nonobstant quelconques mandemens ou deffences à ce contraires. Et affin que ce soit chose ferme et estable à [p. 381] tousjours, nous avons fait mettre nostre seel à cesdictes presentes. Sauf en autres choses nostre droit et l'autruy en toutes. Donné à Tours, ou moys de septembre l'an de grace mil cccc. soixante et deux, et de nostre règne le second8 Ainsi signé : Par le roy, le sire du Lau et autres presens. 2b1af7f3a8